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Kuroshiro - next

18 septembre 2009

Twice

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Voir un film deux fois d'affilée, au cinéma qui plus est, même en l'ayant adoré, c'est chose rare pour moi. Pourtant j'ai fait il y a de cela deux jours exception à la règle, en retournant voir un film avec deux copines qui, elles, le découvraient. Et finalement, même lorsque l'on connaît les dialogues, qu'il n'y pas de suspense, et qu'on n'ignore rien de la fin, c'est très intéressant. Surtout lorsqu'il s'agit d'Inglourious Basterds.

En effet, j'ai pu :
- ne pas lire les sous-titre (quand je comprenais la langue) ;
- savourer les délicieux accents ;
- juger du jeu des acteurs sans être emportée par la scène à suivre ;
- adorer la prestation de Christoph Waltz ;
- regarder les arrières plans, tout aussi amusants que les premiers ;
- observer les petits détails qui font qu'un film reste humain, avec ses erreurs ;
- comprendre davantage les dialogues, les enchaînements, les scènes, qui m'avaient échappé, alors que je pensais que non ;
- apprécier de nouveau ce film.

Parce que c'est vraiment un bon film, ou en tout cas ça l'est de mon point de vue. Un peu dégoûtant par moments, surprenant à d'autres, et fort agréable au final. Le genre de film qui pourrait durer encore plus longtemps que ce ne serait pas trop long. Le genre de film que j'attendais, après pas mal de grosses déceptions ces derniers temps. Et ce malgré quelques défauts, notamment le jeu des acteurs français qui laisse sérieusement à désirer...

Mais je ne me ferai pas critique de cinéma, d'autres s'y attèlent avec brio, alors si vous n'avez pas vu et que vous voulez une véritable critique, vous avez frappé  la mauvaise porte.

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17 septembre 2009

Expo (3)

mucha_moon_sm   Ah ! Mucha ! Comme le dit si bien l'adage, gardons le meilleur pour la fin !

  Parmi les 3 belles expo que j'ai pu voir, s'il en est une merveilleuse, c'est bien celle-là ! Il est malheureusement trop tard pour que les hasardeux et rares lecteurs de ce blog puissent la voir (en France tout du moins). Une expo sur cet artiste, cet affichiste, ce donneur de rêves, pour l'amatrice d'Art Nouveau que je suis, que demander de mieux ?
Pour info, elle s'est tenue au musée Fabre, à Montpellier, et s'y tient encore jusqu'en fin de semaine.

  Pendant 3h (oui oui, j'y ai passé trois belles heures) on peut y découvrir ses œuvres, de Paris à Prague, à travers ses belles affiches, les meubles qu'il a dessinés (pour Fouquet), l'un de ses bustes de la Nature, l'aménagement du Pavillon de la Bosnie-Herzégovine (impressionnant, d'autant qu'on ne le voit pas en entier !), ou bien encore, et pour clore ce "spectacle", l'Épopée Slave, grandiose ! Mais ceci n'est bien entendu pas une liste exhaustive du contenu de l'exposition.

  Un hommage fort bien rendu, malgré quelques inconvénients (éclairage, ou écriture dorée sur fond violet) dont on peut tout fois aisément s'accommoder... Les évolutions de l'artiste, ses envies, ses travaux intrigants (le Pater par exemple), le contraste entre certains de ses dessins, académiques, et ses lithographies ou illustrations Art Nouveau... Un vrai bijou à voir, regarder, admirer...

  Et quel succès ! Jusqu'au bout, des visiteurs, nombreux, s'y rassemblent... Ma mère aura vu maintes fois l'exposition, à juste titre !

  Je suis rentrée sur Montpellier presque uniquement pour la voir, et, en toute honnêteté, je n'ai vraiment pas été déçue du voyage ! Quels souvenirs !

  Pour un début de rentrée voulue résolument "artistique", je crois que je ne me suis vraiment pas loupée ! Espérons que je continue sur cette lancée !

(l'illustration, de Mucha, fait partie d'une série non exposée, sur les différents moments de la journée. J'ai particulièrement appréciée celle-ci)

16 septembre 2009

Expo (2)

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Parce qu'il n'y pas que la capitale et ses habitants, voici une autre exposition que j'ai eu le plaisir de découvrir cet été : Hommage à Picasso à la Cathédrale d'Images des Baux-de-Provence. Un lieu magique, dans une ancienne carrière, ou images et sons vous emmènent pour 30 min (ou plus, si vous voulez rester) de féérie. On y redécouvre Picasso, ses œuvres, son style, dans des dimensions hallucinantes. On s'y promène, s'y arrête, s'y perd. On y découvre telle image, telle vision, tel point de vue. J'ai aimé, et je suis prête à y retourner. A voir et revoir, vraiment !

15 septembre 2009

Expo (1)

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En ces temps bien tristounes, ce ciel gris et ces nuages, quoi de mieux qu'une expo pour se régaler les yeux sans pour autant se les geler ? Pour ce faire, je vous conseille l'expo "Hommages à Toulouse-Lautrec affichiste" qui se tient au musée des Arts décoratifs de Paris, dans la partie publicité, jusqu'au 3 janvier 2010 (plus d'infos en cliquant sur le nom de l'expo).

Une expo sans prétention, qui, comme son nom l'indique, ne nous fait découvrir que le côté "affichiste" de ce monsieur, mais qui a le mérite d'être claire pour les non initiés, avec des explications appropriées, que ce soit de ses inspirations ou de ses "maîtres", et des anecdotes rigolotes fort appréciables.

9 septembre 2009

Laa-Laa-Land

Un petit post pour parler d'un petit blog. Laa-Laa-Land, c'est ça. Des petites créations sans prétentions, mignonnes à souhait.

Personnellement, je suis particulièrement fan de ces p'tits porte-clefs :

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(La photo est bien entendu la propriété de Laa-Laa)

Je pense d'ailleurs que je vais finir par en commander...

P.S : Je repars aujourd'hui chez mes parents. Je ne sais pas encore si je programme des billets par avance ou non. On verra !

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8 septembre 2009

La balance

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C'est un fait. J'ai toujours voulu avoir un pèse-personne.
Peut-être parce qu'il n'y en a jamais eu chez moi. Je trouve ça formidable, un pèse personne.
Quand je vais chez des amis, c'est mon petit rituel. Je demande s'ils ont une balance, et je me pèse. Quand je vais chez le médecin aussi, je me pèse, même quand ce n'est pas nécessaire. Et je me mesure aussi, d'ailleurs, comme si j'espérais encore gagner 1cm.

Je ne fais pourtant pas une fixette sur mon poids. Loin de là même. Bien sûr, quand je me vois dans un miroir, je critique la cellulite par ci, le ventre un peu flasque par là, les jambes trop fines, le visage trop rond, les mains comme ci, les pieds comme ça. Je critique. Je me critique. Rarement les autres - en général je m'en fiche, surtout s'ils ont l'air heureux.
Mais mon poids, je n'ai pas à m'en plaindre. J'ai des parents minces, j'ai juste hérité. N'en déplaise à mon IMC.
Et au médecin de la médecine préventive. Qui m'a quand même demandé si je ne serais pas anorexique. MOI ? La personne la plus gourmande que la Terre est portée (si si !), celle qui a toujours faim, qui mange des gâteaux en permanence, qui a toujours envie d'une tarte aux fraises à 4h du matin et de faire des crêpes à 23h. MOI ? Bon. Je suis maigre, certes. Mais mon corps n'a rien à voir avec celui d'une personne anorexique. Il sait juste comment faire disparaître les graisses. Ce qui reste d'ailleurs un mystère pour la graaande sportive que je suis (digne des JO, au moins). Mais quand même, j'ai juste trouvé ça très drôle.

Toujours est-il que, en dépit de mon envie de balance, je n'ai toujours pas investi.
Finalement, peut-être que c'est la solution. Cela m'évite de critiquer mon poids, comme je me critique devant un miroir, trois fois par jour. L'usage en reste modéré, je ne peux pas être obnubilée. À bat les miroirs, alors !

7 septembre 2009

Back to school

La rentrée...

Le sommeil difficile, le cœur qui bat la chamade... Je me tourne, retourne dans le lit. Impossible de dormir.

6h40 - Monsieur se lève. Je n'ai pas fermé l'œil, pourtant la fatigue était là. La lumière qui éblouit, les bruits du matin, discrets. Je me revoie quelques années en arrière, dans ma chambre, sentant l'odeur du café montant de la cuisine, une odeur de reprise, en somme. Même si Monsieur n'en boit pas, l'odeur de café est là. Comme une vieille habitude, sortie de mon esprit. Le bruit de la douche, du couteau qui racle le beurre, du paquet de brioche qu'on ouvre. Un rituel auquel je n'avais pas assisté depuis longtemps.

7h - Je n'ai pas été réveillée à cette heure depuis bien longtemps. Monsieur s'en va, le calme revient. Les rumeurs de la ville qui se lève. Une voiture, une moto. Dans l'appartement, le ronronnement du frigidaire, l'aération de la salle de bain, des bruits qui me bercent. Dernier regard : une fente de lumière derrière le rideau, à travers cette fenêtre dont on ne ferme plus les volets. Je sombre.

8h20 - Le réveil sonne. Réflexe, engourdie, je l'éteins, il sonnera de nouveau  plus tard. Le portable fait son office à sa suite. Je l'éteins. 8 minutes s'écoulent, puis le réveil sonne, encore. Je l'éteins. Et ainsi de suite.

10h30 - Je me lève, mal réveillée, difficile. J'ai rêvée qu'il était 14h30, que j'étais en retard. Je suis à l'heure. Debout et à la douche !

11h30 - Je suis prête, je pars, un peu stressée de retrouver le chemin de l'école.

Aujourd'hui, ce n'était pas ma rentrée. J'ai pris le chemin de l'école pour me ré-inscrire, uniquement. Aujourd'hui pourtant, j'ai cru que j'y étais.

7 septembre 2009

Reprise ?

Bonjour à ceux qui s'égarent encore en ces lieux !

Petit aparté pour vous dire que je vais essayer de reprendre, lentement mais, je l'espère, sûrement, ce blog à l'endroit où je l'ai laissé.

Pourvu que cette fois-ci je n'abandonne pas.

6 décembre 2008

Passage éclair...

... Juste pour dire que je suis toujours là !

Simplement que, cette année, je n'ai plus beaucoup de temps pour moi... Je croule sous les calques, cartons, balsa et autres spaghetti, découpant, collant, redécoupant, recollant, dessinant, repassant, etc. C'est que ce n'est pas facile, l'architecture ! Pourtant, qu'est-ce que c'est bon (n'en déplaise à mon dernier rendu ^^ (catastrophique, pour la petite histoire)). Bon, bien sûr, mon appart' souffre un peu du bordelisme qui découle de tout ça, mais j'ai de la chance : j'ai un chéri très compréhensif. Enfin, ce sera quand même week-end rangement, là, parce que ce n'est plus possible.

Voilà, tout ça pour dire que je passe mon temps à l'école ou chez moi (maintenant que je travaille un peu plus chez moi, pour m'éviter les départs de l'école à 22h tous les soirs), à travailler, travailler, manger un peu, parfois, dormir aussi, de temps en temps, mais c'est tellement enrichissant ! Et puis bon, quand même, il fallait bien qu'un jour je me mette à travailler !

Par contre, niveau horaire, ce n'est pas évident... C'est simple, je suis rentrée seulement le 15 septembre, et pourtant j'ai l'impression d'y avoir déjà passé un an, dans cette école ! Remarque, comparé à ce que vivent les autres années, apparemment la première année c'est plutôt tranquille... et je dois avouer que ça me fait un peu peur !

Enfin, je tiendrai quand même ce petit blog, de temps en temps, qu'il ne s'enfonce pas dans l'embourbement du temps :)

Des bises à tous ceux qui, encore, passent par là, parfois !

17 août 2008

La faute à pas d'chance

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La poisse, ça vous colle à la peau. Pas besoin d'être superstitieux. De toute façon, qu'on le veuille ou non, quand elle est là, elle est pas prête de vous lâcher.

Sa cible actuelle ? Ce pauvre Monsieur J..

Monsieur J. est un jeune homme comme tout le monde, pas plus grand que la moyenne, pas plus petit non plus. Il a un job stable, qui lui laisse du temps rien que pour lui, un appartement plutôt petit mais sympa, dans Paris, et une petite amie. Tout irait à merveille, si la guigne ne s'entêtait pas à le poursuivre. Lui.
En fait, son problème, c'est pas tant de pas avoir de chance. De toute façon, un coup de malchance, ça peut arriver à n'importe qui. Non, le vrai problème, c'est l'acharnement. Parce que quand la malchance s'abat, c'est pas une tuile qui lui tombe dessus, mais bien trois ou quatre.

Par exemple, Monsieur J., il a choisi Orange comme FAI. Comme il le dirait, au moins, eux, ils ne disent pas que quand Internet marche pas c'est la faute à la ligne [de téléphone] (i.e France Télécom), puisqu'Orange c'est France Télécom. Voilà un souci de réglé.
Sauf que des soucis, y en a des tas d'autres :

Il y a de cela deux ou trois mois, la Livebox de Monsieur J. a voulu lui jouer un mauvais tour, en décidant de lui couper le téléphone. Et ce dans un seul sens seulement, parce que ce ne serait pas drôle autrement. Ainsi Monsieur J. pouvait librement appeler où il le voulait, qui il voulait, quand il voulait, mais ne recevait aucun appel. Pas de problème, on appelle la Hotline, ils sauront quoi faire. Le diagnostic fut radical : il fallait changer la Livebox (de toute façon, ça leur coûte moins cher à produire qu'à réparer, ces p'tites bêtes). Monsieur J. passe donc dans une agence France Télécom, récupérer le nouveau "bébé".

Par la suite, tout va pour le mieux. La chance serait-elle revenue sur ce cher Monsieur J. ? Que nenni !

Voilà de cela quelques jours, la Livebox (celle récupérée récemment), décide de se mettre à jour. 10 minutes sans rien, ce n'est pas si grave, quand il est 2h30 du matin et que de toute façon on allait se coucher. Sauf que les 10 minutes se sont transformées en 10h, qu'il a à nouveau fallu appeler la Hotline, débrancher la machine, la rebrancher, faire un reset usine etc. etc., pour finalement arriver au même diagnostic que précédemment : il faut changer la Livebox. Eh oui, mais c'est trop facile et pas marrant comme ça, alors on décide que la nouvelle Livebox ne sera pas laissée en agence mais livrée (par on ne sait qui d'ailleurs), que pour cela Monsieur J. aura une après-midi entière de paralysée, et qu'en plus, il devra attendre 5 jours. Heureusement, Monsieur J. avait, il y a longtemps, acheté un modem. Ça fera toujours l'affaire en attendant.

Tout remarchait donc presque comme avant, le téléphone en moins (mais avec les portables, de nos jours...), et on allait pouvoir attendre ce fameux livreur dans les jours à venir. Dès le lendemain de cette malencontreuse aventure, pourtant, une ampoule décide de griller. Ce n'est qu'une ampoule, on ira en acheter une demain pense alors Monsieur J.. Sauf que cette ampoule servait, d'une certaine façon, de prémices à quelque chose de plus "gros". Ainsi, entre "demain" et "après-demain", c'est-à-dire dans la nuit de samedi à dimanche, alors que Monsieur J. appuyait sur l'interrupteur, d'un côté pour éteindre la lampe du "bureau", de l'autre pour allumer celles de la "chambre" (notons que dans l'appartement de Monsieur J., les deux pièces sus-nommées n'ent font en fait qu'une seule), l'interrupteur choisit ce moment précis pour "sauter" et entraîner les plombs avec lui, faisant griller une autre ampoule au passage (même si la précédente avait été changée). Monsieur J. s'en va donc remettre les plombs, pour se rendre compte que la partie "chambre" de l'interrupteur ne fonctionnait plus, et qu'elle s'était bloquée sur le mode "circuit fermé", ce qui signifie que les deux lampes de la chambre ne pouvaient plus être éteintes (d'une certaine façon, le fait que l'ampoule de l'une des deux ait grillé était un point positif). Il fallut donc enlever les plombs pour pouvoir dormir.
Qui plus est, comme Monsieur J. n'aime pas quand les choses ne marchent pas (et c'est légitime), il fallut également déboîter l'interrupteur qui, contrairement aux interrupteurs normaux, n'était pas vissé, pour se rendre compte qu'à 4h du matin on ne pouvait de toute façon rien faire.

Pour l'instant, Monsieur J. n'a pas encore vécu d'autres mésaventures avec l'électricité, mais j'oserais parier que ça ne saurait tarder.

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