Bac(k)

Voilà voilà, maintenant nous tournons cette page politique, pour en remplir un nouvelle, blanche et belle, à propos de quelque chose de moins engagé, ma pomme !

Et oui, pour moi, c'est l'année du Bac, et, pour rien ne vous cacher, c'est mal barré... Pas que la réussite soit impossible, je dirais qu'il faut y mettre les moyens, et par les temps qui courent, il semblerait que si la volonté est là, les moyens, eux, ne semblent pas poindre à l'horizon. Et ça, c'est vraiment mauvais signe !

Il semblerait par ailleurs que je me sois pris pour Candide, enfin, pour Candide avant qu'il ne voyage : j'ai été bien trop optimiste ! Et en plus de cela, je me suis sentie omnipotente. Du coup, j'ai pris des engagements sur diverses choses, mais je vais avoir du mal à tout respecter, et à m'y investir. Et si par dessus le marché je suis incapable de me forcer à travailler, je vais plonger (qui dis-je ? sauter!) dans le gouffre qui s'ouvre devant moi, et, que les choses soient claires, le redoublement, je ne le sens mais alors pas du tout ! (encore une année là-bas et c'est la fin).

Alors deux choix s'offrent à moi: Je plonge (ce n'est pas un choix direz-vous, pourtant c'est la voie que j'ai pour l'instant choisie -_-), ou alors je redresse la barre, et je change de cap, avec comme contrainte travail travail travail ! ("Le travail c'est la santé").

Le changement de cap me paraît être une très bonne solution, d'autant que si le soleil reste au beau fixe, j'aurais l'occasion de travailler dehors, ce qui, je dois l'avouer, me mettrait de très bonne humeur.

Bref, tout ça pour dire que le Bac, je l'aurai coûte que coûte ! (et vous aussi les filles vous avez intérêt à l'avoir, sinon vous allez m'entendre >_<)